Votre enfant rencontre des difficultés à l’école (mémorisation, graphie, lecture, repérage sur une page…). Il souffre de troubles dys (dyspraxie, dyslexie…)
Certaines de ses émotions vous semblent excessives ou sont difficiles à gérer (crises, anxiété, angoisses, stress …).
Votre fils ou votre fille est hypersensible au niveau du toucher, de l’ouïe, de la vue, de l’odorat ou du goût il ou elle a du mal à se concentrer en classe, il est agité, elle bouge sans arrêt.
Peut-être certains de ses réflexes archaïques sont-ils encore actifs, alors qu’à la fin de sa première année de vie, ils auraient dû disparaître pour laisser place à des réflexes dits posturaux.
Vous connaissez ces réflexes archaïques pour les avoir observés chez votre enfant quand il était encore bébé. Ils sont présents dès la naissance et sont testés par le pédiatre à la maternité. Ils sous-tendent et accompagnent le développement de l’enfant pendant toute sa première année. Au-delà ces réflexes sont inhibés et se transforment en réflexes dits « posturaux ».
Après l’âge d’un an, la présence de ces réflexes archaïques gêne et freine l’enfant, car il dépense une énergie phénoménale à les gérer, alors qu’ils devraient tout simplement ne plus être là.
Le travail d’intégration des réflexes primitifs a pour objectif de revenir sur les étapes du développement de l’enfant. Celui-ci, en faisant des mouvements simples, complète la maturation de son système nerveux et progresse au niveau sensoriel, moteur, émotionnel et cognitif.
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